Le patron de la Centrale syndicale a été vu quittant tôt dans la matinée le siège de l’UGTA, afin de ne pas avoir à affronter le flux important des employés de l’Education, qui se sont déversés sur les lieux dès les premiers heures de la journée d’hier. Leur nombre avoisinait les 2500, mais on estimait à plus de 24 000 les employés signataires de la pétition, et qui pourraient paralyser tout le secteur si leurs doléances restent sans réponse.
Unsit-in a regroupé hier, des centaines d’employés du secteur de l’Education devant le siège de l’UGTA, à Alger. Des mots-d’ordre ont été brandis et qui se sont articulés autour de revendications liés au régime indemnitaire, qui tarde à se concrétiser. Les employés du secteur de l’Education, qui ont répondu à l’appel de plusieurs syndicats, sont venus de toutes les wilayas du pays.
Le patron de la Centrale syndicale a été vu quittant tôt dans la matinée le siège de l’UGTA, afin de ne pas avoir à affronter le flux important des employés de l’Education, qui se sont déversés sur les lieux dès les premiers heures de la journée d’hier. Leur nombre avoisinait les 2500, mais on estimait à plus de 24 000 les employés signataires de la pétition, et qui pourraient paralyser tout le secteur si leurs doléances restent sans réponse.
Le ministre du secteur, qui avait menacé de licenciement les grévistes, risque de se retrouver dans une situation inconfortable, d’autant plus que les grévistes sont décidés à aller loin dans ce bras de fer « initial » qui n’augure rien de bon dans le secteur de l’Education, qui avait été paralysé l’année passée par des grèves à répétition qui ont enlevé toute consistance au cours...
Les employés du sit-in présents hier, au siège de l’UGTA exigent l’application du décret exécutive 08/315, lequel qualifie de « famille de l’Education » toutes les fonctions du secteur, y compris les postes dits « économiques », exclus curieusement de la liste des prochains bénéficiaires du système indemnitaire mis en route par le ministère de l’Education.
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