Pour recouvrir nos droits légitimes bafoués par le ministère de l'éducation et le directeur de la fonction publique il est temps de revoir notre stratégie de fond en comble et de nous poser des questions sur le parcours réalisé et chercher les raisons de nos divers échecs pour rectifier le tir et avancer de bon pied. Il est urgent de nous prendre en charge, on est jamais bien servi que par soi même or nous notre destin, notre avenir et je dirai même notre dignité n'est pas entre nos mains nous l'avons délégué à autrui qui ne se souci guère de nous, Le divorce avec la centrale syndicale est une condition sin qua non pour sortir de ce ghetto dans l'UGTA nous a embourbé. nous sommes, que nous le voulions ou pas, victimes de ce syndicat et de nous même bien sur. La coordination doit se démarquer publiquement de l'hégémonie de l'UGTA faute de quoi nous resterons pour l'éternité la dernière roue de la charrette.
Quand aux autres voix discordantes comme vous le citez "Intendant Alger" je ne suis pas d'accord avec vous pour moi ils doivent exister ils sont des catalyseur et Voltaire disait:« je ne suis pas d'accord avec ce que
vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le
dire » c'est ça la tolérance et ...la démocratie
A bon entendeur Salam